Trace Demain

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dimanche 24 septembre 2017

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 15 SEPTEMBRE 2017

Filet typographique

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Les membres de Trace Demain ratant de peu l'écriture d'un vers de 12 pieds, lors de la mémorable assemblée générale du 15 septembre 2017.

Chausseur sachant chausser sur archiduchesse sèche.

Circa 15 septembre 2017 22 heures 19.

Musée du vers solitaire, Alexandrette.

Filet typographique

Comme chaque année, l'assemblée générale de Trace Demain s'est tenue avec ordre, rigueur et componction.

Discussions et délibérations, d'un discernement certain, furent à la hauteur d'une si grave et auguste assemblée.

À l'issue de ces discussions, ont été solennellement arrêtés, selon le rapport circonstancié du secrétaire général, dont le talent sténographique n'a d'égal que le sang-froid dont il fit preuve dans le commandement sous le feu de l'ennemi :

  • Réélection du bureau, tel qu'en lui-même l'éternité le change.
  • Divers
  • Comptage des nombre de verres à pied et de pieds sans verre.
  • Divers
  • Palpations capillaires ou crâniennes (selon ressource)
  • Dix verres
  • Dilatation et contraction de l'espace-temps dans une année comptable
  • Dix verres
  • Constitution d'un groupe de travail tripartite pour faire bouillir l'eau des pâtes
  • Dix verres

Ensuite, et selon la tradition, l'auguste et générale assemblée alla chanter en chœur les filles de Camaret à la messe d'inhumation d'un inconnu.

Filet typographique

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Les membres de Trace Demain prenant la grosse tête après avoir réussi, à un pied près, un alexandrin, lors de la mémorable assemblée générale du 15 septembre 2017.

Goitres sur chevilles.

Circa 15 septembre 2017 22 heures 19.

Filet typographique

mardi 15 décembre 2015

VOEUX 2016

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PDT, TR et SG réunis sur la photo officielle, le bureau de Trace Demain vous souhaite de bonnes fêtes et ses meilleurs vœux pour l'année 2016.

mercredi 7 janvier 2015

JE SUIS CHARLIE

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vendredi 20 janvier 2012

EXPO T2M A L'EPICERIE CULTURELLE JANVIER 2012

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EXPO T2M A L'EPICERIE CULTURELLE JANVIER 2012

EXPO T2M 01 12 BPhoto JJ

EXPO T2M A L'EPICERIE CULTURELLE JANVIER 2012

EXPO T2M 01 12 APhoto JJ

samedi 6 novembre 2010

VENDREDI 5 NOVEMBRE 2010, 08H12, RUE MAC ORLAN

Ca y est, le gingko biloba de la rue Mac Orlan est paré de son manteau de pièces d'or.  

lundi 16 novembre 2009

Passage (temporaire) de l'amour

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C'est un passage provisoire place Jenner, chantier hors norme à l'étroit sur le rond-point qui déborde, ce qui subsiste d'espace affecté à la circulation des piétons, miette dérisoire mais très longue, tranchée à l'abri du regard et du trafic public, un mètre de large, un collège au-dessus et les élèves qui empruntent ce couloir, nombreux (plus nombreux d'être cachés ?)...

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mercredi 18 février 2009

Bâtisse du Havre

L'escalier de l'Opéra Garnier offre une fausse perspective, ses marche de plus en plus étroites à mesure de la montée suggèrent, de face, la profondeur…

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Paysage de campagne

    À Saint Pierre il existe un tunnel routier, passage entre deux univers. D'un côté la ville de l'autre la campagne normande la plus verte et vallonnée que l'on nomme "la vallée de l'Oison"…

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vendredi 12 décembre 2008

Forme libre autour d’un lieu du Havre

Un terrain vague… On y entre en se demandant si c’est bien prudent. Le terrain est escarpé, vallonné ; le chemin emprunté, très étroit : une seule personne à la fois pour y passer, ou un vélo (en mettant fréquemment pied à terre pour ne pas tomber), parsemé de grosses pierres, par-ci, par-là, de manière suffisamment irrégulière pour que chacune d’elles soit une surprise et un danger. Le chemin s’obscurcit encore ; des tons verts et bruns du début de la promenade, on passe au vert-de-gris, à l’obscurité. Ça sent la crotte de chien, on n’en voit pas la fin, on risque d’y mettre les pieds ou bien on se les tord sur une cannette de bière abandonnée là, ou encore, on dérape sur un sac plastique. Mais trop tard, plus moyen de faire marche arrière, on est allé trop loin ! Il faut avancer encore et encore, s’enfoncer plus profondément dans cette jungle. Puis enfin, le chemin s’élargit, devient moins escarpé. La végétation moins oppressante s’écarte autour de nous, la luminosité grandit ; on commence à peine à entrapercevoir la sortie, que subitement, c’est le flash, l’éblouissement total, avec l’apparition subite de la baie du Havre dans toute sa splendeur, vision de ce point culminant, surplombant la ville et la mer, et les clochers d’églises et les gens si petits, et à mes pieds, une autre cannette de bière abandonnée…

lundi 20 octobre 2008

JIC I

Il faisait doux en cette fin d'après midi d'octobre. Ces deux-là gravirent les quelques marches, s'installèrent à la terrasse du bar dans l'indifférence des habitués attablés à leur conversation. Après un temps où l'un semblait chercher dans son sac, l'autre de ses mains, prit l'attitude qui leur convenaient.

Personne ne remarqua l'expression qui se lisait sur leur visage. Ils restaient seuls, seuls à s'être attablés face à la mer.

Fixant l'horizon comme pour se rapprocher. Ils regardaient le début du coucher du soleil.

Passé un moment, du regard ils semblaient convenir de laisser parler la palette de ce passage du jour à la nuit.

Cet entre-deux qui se déclinait en mouvement de couleur.

Sur l'estuaire à faible hauteur de la ligne d'horizon, le soleil dans sa couleur chaude du soir traçait un couloir comme un passage, sur une mer turquoise.

Il se passa un moment avant que le soleil n'effleure l'horizon. Le passage qui s'ouvrait à eux comme une invitation se rétrécissait au fur et à mesure que le soleil disparaissait.

Ce soir-là, personne ne put dire ce qu'ils firent de cette invitation.

vendredi 12 septembre 2008

VENDREDI 12 SEPTEMBRE 24 HEURES ET 45 MINUTES

Aux alentours d’une heure du matin, il y avait un renard dans la rue Pasteur.